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Une haine soudaine des cocotiers

par Irène Bertaud

Mars 2006

216 pages

13,4x24,9 cm

ISBN 2 904 171 60-3

800 CFP prix public


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Il y a toutes sortes de polars polynésiens, habituellement la Polynésie sert simplement de décor exotique où les femmes sont des vahines (en français dans le texte) et les hommes sont seulement ce qu’ils sont ou ne sont pas…

Irène Bertaud nous propose un polar déjanté où tout est vrai. Sur une île, tout est possible et tout devient réel. Surtout l’impensable, l’invraisemblable et la coïncidence remarquable. Il faut donc lire Une haine soudaine des cocotiers surtout quand on commence à les aimer ou à les imaginer vers le soir, au coucher du soleil, un verre à la main et la nostalgie au cœur. Vite, il y a quand même 216 pages !

Irène Bertaud est née en France de parents russes. L’essentiel de sa carrière est consacré à la communication médicale, métier qu’elle exercera pendant plus de 10 ans dans plusieurs capitales, dont New-York et Rome. Elle crée ensuite sa propre société de communication, à Paris, tout en entreprenant une analyse qui la mènera à devenir psychanalyste lorsqu’elle arrêtera son métier dans la communication, 15 ans plus tard.

Elle a exercé à Paris, puis dans le sud de la France et enfin à Papeete, qu’elle a quitté pour Rangiroa, où elle vivait et travaillait jusqu’en 2008 pour exercer à nouveau son métier de psychanalyste à Paris tout en restant un auteur polynésien.

«Digne héritière de Chase et de Chandler, Irène Bertaud utilise le roman policier comme un moyen ludique et dynamique de peindre un tableau social et des portraits sans complaisance aucune. Portés par une plume vive, incisive et pleine d’humour, nous voici embarqués dans un monde insulaire que nous connaissons tous, mais que bien peu, à ce jour, ont osé décrire. Au long de ces deux cent seize pages, le séjour au paradis a des allures de descente aux enfers. […]

Une haine soudaine des cocotiers est une grande bouffée d’air pur dans l’air suffoquant des interminables et écœurantes litanies sur la beauté paradisiaque de nos lagons, vahine, cocotiers…» (Julien Gué in Toere n° 248 du 6 avril 2006)


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